Dans un premier temps, les très pauvres reçoivent eux-mêmes d’autres chrétiens dans "leur" lieu, celui où ils se rencontrent régulièrement et qu’ils peuvent s’approprier - à Toulouse, c’est une ancienne ferme à Villariès. -
Pour l’échange, les différences d’expression s’estompent quand le texte choisi est préparé et écrit à l’avance de part et d’autre par chaque groupe.
Dans le diocèse, ils participent aux pèlerinages (comme Pibrac, Lourdes) ou aux grands événements, tels que le synode diocésain en 1991-92, le 9ème centenaire de St Sernin, en 1996, les célébrations de l’entrée en l’an 2000, Ecclesia à Pentecôte 2009....
Ils y ont leur place en tant que groupe des "Chrétiens du Quart Monde". Peu à peu, ils peuvent être à l’aise quand ils sont reçus par d’autres chrétiens dans des messes paroissiales, des rencontres de doyenné ou des mouvements. Certains sont capables de commenter leurs panneaux devant des inconnus.... D’autres ont une place dans l’animation de célébrations : ils partagent leur lecture de l’Evangile dans des intentions ou la composition d’un psaume.